[Lettre d'un oncle à ses neveux]]]> [Martin Carrera informe ses neveux demeurant l'Argentine du fait que de l'argent leur avait été envoyé par le moyen d'un capitaine de bateau et du patron de monsieur Feliz Ovin. Il décrit également sa maladie. ]]]> [La lettre originale est de la propriété de Marie-Dominique Aguer, épouse Uhalde.]]]> [Lettre d'un frère à ses sœurs. ]]]> [La lettre originale est de la propriété de Marie-Dominique Aguer, épouse Uhalde.]]]> [Martin Carrera demande à sa belle-sœur Ana Etcheverry de lui payer la partie de l'héritage qui lui est due depuis 1841 ou de lui acheter des terres si elle ne peut pas lui payer. Le fils d'Ana Etcheverry, demeurant à Buenos Aires, aurait renoncé à sa primogéniture en faveur de sa sœur. Martin Carrera déclare avoir oublié sa langue maternelle.]]]> [La lettre originale est de la propriété de Marie-Dominique Aguer, épouse Uhalde.]]]> [Lettre d'un beau-frère à sa belle-sœur]]]> [Martin Carrera demande à sa belle-sœur Ana Echeverry d'attendre à ce que la famille Loisot puisse payer la dette qu'ils ont avec elle. Le curé Echelecu figure. ] ]]> [Martin Carrera accuse son frère Juan Bautista Carrica d'avoir gardé la somme des intérêts sur lesquels le premier aurait le droit, lui empêchant ainsi d'ouvrir un commerce à son compte. Il explique également qu'il a eu le choléra deux fois et demande où se trouve le cousin Marcos Jaureguy.]]]> [Lettre d'un frère à ses sœurs. Le destinataire figurant sur l'enveloppe est María Carrique Landuix).]]]> [Lettre de Martin Carrera à ses sœurs sur ses maladies à lui et des questions d'argent, ainsi que sur le décès de Marcos Jaureguy.]]]> [La lettre originale est de la propriété de Marie-Dominique Aguer, épouse Uhalde.]]]> [Lettre d'un frère à ses sœurs. Le destinataire figurant sur l'enveloppe est María Carrique Landuix / Londuix.]]]> [Martin Carrera écrit à sa sœur Maria Carrique pour avoir des nouvelles de la famille et pour informer du fait que l'argent a été envoyé, et explique aussi comment partager cet argent.]]]> [La lettre originale est de la propriété de Marie-Dominique Aguer, épouse Uhalde.]]]> [Lettre entre amis pour François Aguer, dit Carrique, d'Undurein, en Soule, expédié depuis Rojas, en Argentine, par Pierre Harrdoy.]]]> [Lettre entre amis pour Batiste Carriqua, d'Undurein, en Soule, expédié depuis Montevideo, en Uruguay, par un expéditeur inconnu, car il n'y a pas de signature. ]]]> [La lettre originale est de la propriété de Marie-Dominique Aguer, épouse Uhalde. ]]]> [Lettre pour François Aguer, dit Carrique, d'Undurein, en Soule, expédié depuis Buenos Aires, en Argentine, par Maria Iribarne dit Carrica. Domingo Dolagaray, vendeur de porc au mercado del Plata, Mr. Lagarde, notaire, figurent.] ]]> [Le montant du loyer d'une maison et d'autres questions d'argent figurent. Quelques mots en espagnol figurent dans la lettre.]]]> [La lettre originale est de la propriété de Marie-Dominique Aguer, épouse Uhalde. ]]]> [Lettre pour François Aguer, dit Carrique, d'Undurein, en Soule, expédié depuis Buenos Aires, en Argentine, par Maria Iribarne dit Carrica. Domingo Dolagaray, vendeur de porc au mercado del Plata, Mr. Lagarde, notaire, figurent.] ]]> [Le montant du loyer d'une maison et d'autres questions d'argent figurent. Quelques mots en espagnol apparaissent dans la lettre.]]]> [La lettre originale est de la propriété de Marie-Dominique Aguer, épouse Uhalde.]]]> Lettre pour François Aguer, dit Carrique, d'Undurein, en Soule, expédié depuis Buenos Aires, en Argentine, par Maria Iribarne dit Carrica. Quelques mots en espagnol apparaissent à la fin.]]]> [Des références de paiements à des personnes diverses figurent.]]]> [Lettre entre amis pour François Aguer, dit Carrique, d'Undurein, en Soule, expédié depuis Rojas, en Argentine, par Pierre Hardoy]]]> [L’expéditeur Pierre Hardoy déclare ne pas avoir complètement oublié Undurein et apprend toujours le langage locale. Il fait référence à une guerre, probablement la Révolution de 1874 en Argentine. Le reste de la lettre est une suite de consignes concernant des paiements à des personnes diverses.]]]> [La lettre originale est de la propriété de Marie-Dominique Aguer, épouse Uhalde.]]]>