Le chant soliste traditionnel au Pays Basque Nord : approche méthodologique et proposition d’analyse, Mémoire de Master co-dirigé par Jésus Aguila, Jean-Christophe Maillard et Pascal Gaillard, Université de Toulouse le Mirail, 2006.]]> Xalbador, Donostia, Elkarlanean, 2014.]]> Xalbador, Donostia, Elkarlanean, 2014.]]> [Lettre entre amis pour François Aguer, dit Carrique, d'Undurein, en Soule, expédié depuis Rojas, en Argentine, par Pierre Harrdoy.]]]> [Lettre entre amis pour François Aguer, dit Carrique, d'Undurein, en Soule, expédié depuis Rojas, en Argentine, par Pierre Hardoy]]]> [L’expéditeur Pierre Hardoy déclare ne pas avoir complètement oublié Undurein et apprend toujours le langage locale. Il fait référence à une guerre, probablement la Révolution de 1874 en Argentine. Le reste de la lettre est une suite de consignes concernant des paiements à des personnes diverses.]]]> [La lettre originale est de la propriété de Marie-Dominique Aguer, épouse Uhalde.]]]> Xalbador, Donostia, Elkarlanean, 2014.]]> Xalbador, Donostia, Elkarlanean, 2014.]]> Chants polyphoniques
Prières chantées
Lectures]]>
Xalbador, Donostia, Elkarlanean, 2014.]]>
[Martin Carrera écrit à sa sœur Maria Carrique pour avoir des nouvelles de la famille et pour informer du fait que l'argent a été envoyé, et explique aussi comment partager cet argent.]]]> [La lettre originale est de la propriété de Marie-Dominique Aguer, épouse Uhalde.]]]> [Martin Carrera demande à sa belle-sœur Ana Etcheverry de lui payer la partie de l'héritage qui lui est due depuis 1841 ou de lui acheter des terres si elle ne peut pas lui payer. Le fils d'Ana Etcheverry, demeurant à Buenos Aires, aurait renoncé à sa primogéniture en faveur de sa sœur. Martin Carrera déclare avoir oublié sa langue maternelle.]]]> [La lettre originale est de la propriété de Marie-Dominique Aguer, épouse Uhalde.]]]> [Lettre d'un beau-frère à sa belle-sœur]]]> [Martin Carrera demande à sa belle-sœur Ana Echeverry d'attendre à ce que la famille Loisot puisse payer la dette qu'ils ont avec elle. Le curé Echelecu figure. ] ]]> [Lettre d'un frère à ses sœurs. ]]]> [La lettre originale est de la propriété de Marie-Dominique Aguer, épouse Uhalde.]]]> [Lettre d'un frère à ses sœurs. Le destinataire figurant sur l'enveloppe est María Carrique Landuix).]]]> [Lettre de Martin Carrera à ses sœurs sur ses maladies à lui et des questions d'argent, ainsi que sur le décès de Marcos Jaureguy.]]]> [La lettre originale est de la propriété de Marie-Dominique Aguer, épouse Uhalde.]]]> [Lettre d'un frère à ses sœurs. Le destinataire figurant sur l'enveloppe est María Carrique Landuix / Londuix.]]]> [Martin Carrera accuse son frère Juan Bautista Carrica d'avoir gardé la somme des intérêts sur lesquels le premier aurait le droit, lui empêchant ainsi d'ouvrir un commerce à son compte. Il explique également qu'il a eu le choléra deux fois et demande où se trouve le cousin Marcos Jaureguy.]]]> [Lettre d'un oncle à ses neveux]]]> [Martin Carrera informe ses neveux demeurant l'Argentine du fait que de l'argent leur avait été envoyé par le moyen d'un capitaine de bateau et du patron de monsieur Feliz Ovin. Il décrit également sa maladie. ]]]> [La lettre originale est de la propriété de Marie-Dominique Aguer, épouse Uhalde.]]]> [Lettre pour François Aguer, dit Carrique, d'Undurein, en Soule, expédié depuis Buenos Aires, en Argentine, par Maria Iribarne dit Carrica. Domingo Dolagaray, vendeur de porc au mercado del Plata, Mr. Lagarde, notaire, figurent.] ]]> [Le montant du loyer d'une maison et d'autres questions d'argent figurent. Quelques mots en espagnol figurent dans la lettre.]]]> [La lettre originale est de la propriété de Marie-Dominique Aguer, épouse Uhalde. ]]]> [Lettre pour François Aguer, dit Carrique, d'Undurein, en Soule, expédié depuis Buenos Aires, en Argentine, par Maria Iribarne dit Carrica. Domingo Dolagaray, vendeur de porc au mercado del Plata, Mr. Lagarde, notaire, figurent.] ]]> [Le montant du loyer d'une maison et d'autres questions d'argent figurent. Quelques mots en espagnol apparaissent dans la lettre.]]]> [La lettre originale est de la propriété de Marie-Dominique Aguer, épouse Uhalde.]]]> Lettre pour François Aguer, dit Carrique, d'Undurein, en Soule, expédié depuis Buenos Aires, en Argentine, par Maria Iribarne dit Carrica. Quelques mots en espagnol apparaissent à la fin.]]]> [Des références de paiements à des personnes diverses figurent.]]]>
L'orignial est conservé à Londres dans les archives de l'Amirauté britannique (HCA 30/264/2).
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L'original est conservé à Londres dans les archives de l'Amirauté britannique (HCA 30/264/2).
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L'original est conservé à Londres dans les archives de l'Amirauté britannique (HCA 30/264/2).
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Lapurdum serait en fait Pierre de Arrunde et le frère de Martin de Arrunde. La lettre dit : "j’étais revenu du service du Roi et je vais à la course". Pierre Arrunde "fils de la locataire de Gaztebaita, marié à Jeanne Larralde", âgé de 35 ans, mourut à l’hôpital de Quebec. Dans l’acte de cérémonie funèbre du 14-01-1759, il est signalé qu’il était mort quatre mois plus tôt, donc en septembre 1758. Lui et son épouse n’eurent pas d’enfant. Martin Arrunde le récipiendaire est cité ainsi : "fils de la locataire de Gaztebaita... décedé dans les prisons de Falmuth...après avoir été pris par les anglais... venant de Louisbourg". Il avait 25 ans. Dans l’acte de cérémonie funèbre du 18-02-1758, il est précisé qu’il était mort quatre mois plus tôt, soit en octobre 1757.]]> Lapurdum, numéro spécial 2. 2015. Disponible sur : <https://lapurdum.revues.org/2528> (consulté le 1.02.2017)]]> 1757ko gutuneriari buruzko osagarriak eta gogoetak, "othoi çato etchera". Bilbao : Euskaltzaindia, 2019 (Iker 36). Disponible : <https://www.euskaltzaindia.eus/dok/iker_jagon_tegiak/81625.pdf>]]> encodage TEI, 10 Ko)]]> http://anpersana.iker.univ-pau.fr/items/show/82]]> HCA 30/264/2).]]>
L'original est conservé à Londres dans les archives de l'Amirauté britannique (HCA 30/264/2).
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