Catalin Lalanne informe son époux Esteban Gourdo qu'elle a bien reçu sa lettre ainsi qu'une lettre de change de 120 livres, dont elle a été payée, et qu'elle a fait dire les messes qu'il avait demandées.
Betri Etcheberry informe son fils Joannes qu'ils lui envoient cette lettre après deux précédentes restées sans réponse, expliquant que ce n'est pas leur faute si leurs lettres ne lui sont pas parvenues.
P. Larrigue, depuis Saint-Jean-de-Luz, écrit à François Lartigue, un négociant à Louisbourg, pour traiter de questions financières liées à la succession de feu François Mavalé.
La veuve Lebret, depuis Saint-Jean-de-Luz, écrit à Jacques Imbert, un négociant à Louisbourg, pour gérer des affaires financières concernant la vente de "reis".
Dans cette lettre du 6 mars 1757, Remond Leumau écrit à Pierre Lasserre, tonnelier à Louisbourg, pour échanger des nouvelles personnelles et commerciales.
L'abbé Robin écrit depuis Sare à Messieurs Philippe Leneuf de Beaubassin et Jean-Baptiste Dupleix Silvain à Louisbourg, pour rappeler le cas de Jean Daranatz, un jeune matelot de sa paroisse décédé près de Louisbourg.
L'abbé Robin, depuis Sare, écrit à M. Poré, négociant à Louisbourg, pour traiter des affaires posthumes de Pierre Darroquy, un matelot récemment décédé, dont la famille a été informée par M. Poré.
Jeanne de Chast, veuve Madaris, de Ciboure, écrit à Jean Laborde, négociant à Louisbourg, pour lui rappeler une dette concernant les salaires de son défunt mari François Madaris, qui travaillait comme matelot sur la goélette La Pitouche.
Maria Pasqual, depuis Ossès, écrit à son père, Martin Pasqual, charpentier à Louisbourg, pour lui exprimer son affection et son respect, tout en l'informant de sa bonne santé ainsi que celle de sa tante.
Marianne Haraneder Darguibel écrit depuis Bayonne à Joannis Galant Dolabarats, son cousin et capitaine de port à Louisbourg, pour l'informer du legs d'une créance par Domins Etchechoury, décédée en avril de l'année précédente.
Marie Darteguiette veuve Dargaiñarats, depuis Ciboure, écrit à Nicolas Larcher, négociant à Louisbourg, pour solliciter son aide urgente concernant la décharge du sel que son défunt mari avait chargé pour Larcher en 1755.
Madame veuve Lebret, depuis Saint-Jean-de-Luz, adresse une lettre à Jacques Imbert, négociant à Louisbourg, le 24 mars 1757, pour régler une affaire commerciale concernant des rets (filets) vendus. Elle informe Imbert que Monsieur Hiriboure, qui…