Jean Lagarde, depuis Bayonne, écrit à Bernard Lafitte à Louisbourg le 20 mars 1757 pour confirmer l'envoi de marchandises et régler des détails financiers.
Peredos de Carette, depuis Bayonne, écrit au chevalier Du Brouhet, capitaine au régiment de Bourgogne à Louisbourg, pour l'informer de l'envoi des effets demandés, accompagnés d'une facture détaillée.
Duplicata de la la lettre de Lanne à Messieurs Beaubassin Silvain & Compagnie dans laquelle il exprime sa détresse face à l'impossibilité d'honorer les lettres de change qu'ils ont tirées sur lui, à cause de difficultés financières non spécifiées.
La lettre de Lanne à Messieurs Beaubassin Silvain & Compagnie exprime sa détresse face à l'impossibilité d'honorer les lettres de change qu'ils ont tirées sur lui, à cause de difficultés financières non spécifiées.
Bertrand Duvergé écrit à Jacques Imbert, négociant à Louisbourg, pour l'informer de plusieurs tentatives de lui envoyer des lettres via différentes goélettes et le capitaine Marsans Larroulet.
Peredos de Carette, depuis Bayonne, écrit au chevalier Du Brouhet, capitaine au régiment de Bourgogne à Louisbourg, pour l'informer de l'envoi des effets demandés, accompagnés d'une facture détaillée.
Michel Pradere, depuis Sare, écrit à Jacques Imbert, négociant à Louisbourg, pour lui faire part de son retour après avoir été capturé par les Anglais et emmené à Lisbonne suite à une prise de corsaire.
Jeanne de Chast, veuve Madaris, de Ciboure, écrit à Jean Laborde, négociant à Louisbourg, pour lui rappeler une dette concernant les salaires de son défunt mari François Madaris, qui travaillait comme matelot sur la goélette La Pitouche.
L'abbé Robin, depuis Sare, écrit à M. Poré, négociant à Louisbourg, pour traiter des affaires posthumes de Pierre Darroquy, un matelot récemment décédé, dont la famille a été informée par M. Poré.
Esteben Mendy, depuis Sare, adresse une lettre à Joannes Detchebery, marin à Louisbourg, pour lui communiquer le bon état de santé de leur famille et exprimer sa joie quant aux lettres de change reçues, signe de la bonne fortune de Joannes.
L'abbé Robin écrit depuis Sare à Messieurs Philippe Leneuf de Beaubassin et Jean-Baptiste Dupleix Silvain à Louisbourg, pour rappeler le cas de Jean Daranatz, un jeune matelot de sa paroisse décédé près de Louisbourg.
Dans cette lettre de 1757, Mme veuve Lebret de Saint-Jean-de-Luz s'adresse à Jacques Imbert, un négociant à Louisbourg, concernant une transaction commerciale affectée par des circonstances adverses.
Dans cette lettre du 6 mars 1757, le curé S. Darrache de Ciboure écrit à Monsieur Desclos, maître forgeron à Louisbourg, concernant une lettre de change envoyée pour le traitement médical de son fils.
Marthe Mirassou, depuis Maslacq, exprime à son fils Bernard Lafitte, maître charpentier à Louisbourg, sa gratitude pour les présents reçus via Monsieur Lagarde, à l'exception d'une lettre de change différée.
M. Barrau de Bayonne envoie une copie de lettre de M. Dupeyrat de Bordeaux aux négociants Beaubassin Silvain & compagnie à Louisbourg, concernant la récupération de dettes issues de la vente de cargaison du navire le St Esprit.
Pierre Lapouble, depuis Saint-Jean-de-Luz, informe Madame Labatiste La Lorans, à Louisbourg, de sa récente captivité par une frégate anglaise près de Louisbourg et de son détour forcé vers Lisbonne avant de retourner chez lui.
M. Duvergier, de Saint-Jean-de-Luz, écrit à B. Siman, chirurgien à Louisbourg, pour l'informer que l'argent d'une lettre de change de 11 000 livres a été payé et est en sa possession, malgré des pertes de correspondance dues aux captures par les…
Jeanne de Lissardy, veuve Ducos, répond à Bertrand Derocet de Louisbourg en confirmant la réception d'une lettre de change de 240 livres qu'elle lui créditera dès que possible.
La veuve Lebret, depuis Saint-Jean-de-Luz, écrit à Jacques Imbert, un négociant à Louisbourg, pour gérer des affaires financières concernant la vente de "reis".
Betry Daguerre informe son frère Martincho Daguerre de sa bonne santé ainsi que de celle de leur famille, bien que son épouse soit gravement malade depuis neuf mois.
Maria de Saint Martin informe son fils Joanis Diharce qu'elle a reçu la lettre de change et l'argent qu'il a envoyé, pour lesquels elle le remercie et prie pour sa santé.
Jean Lafitte et Jeanne Michau écrivent à leur fils Joanis Lafitte Bourguignon pour lui dire qu'ils n'ont pas pu lui envoyer les outils prévus, car on les a dissuadés en pensant qu'il pourrait avoir quitté sa location.
Catalin Lalanne informe son époux Esteban Gourdo qu'elle a bien reçu sa lettre ainsi qu'une lettre de change de 120 livres, dont elle a été payée, et qu'elle a fait dire les messes qu'il avait demandées.