Jean Lirman écrit à Simon Gotière de Bayonne, exprimant ses respects et se renseignant sur l'état de santé de Simon et de sa famille, tout en demandant des nouvelles d'un billet et de divers prêts qu'il a faits.
Maniouri Camino écrit à Jean Laborde, négociant de la marine à Louisbourg, pour le suivi d'une procuration et de documents envoyés l'année précédente via le sieur Darroupé.
Ursulle Daranette, depuis Ascain, écrit à son fils Pierre Dharoste, marinier à Louisbourg, pour lui faire part de sa réception de sa lettre datée de décembre, exprimant sa joie de savoir qu'il est en bonne santé.
Catherine Dolabarats Despiaube de Saint-Jean-de-Luz écrit à son mari, Joannis Galant Dolabarats, capitaine de port à Louisbourg, pour lui donner des nouvelles de la famille et informer de la situation locale et de la cour de France.
L'abbé Robin, depuis Sare, écrit à M. Poré, négociant à Louisbourg, pour traiter des affaires posthumes de Pierre Darroquy, un matelot récemment décédé, dont la famille a été informée par M. Poré.
Joanna Haurra Mococain veuve Domecq, depuis Saint-Jean-de-Luz, s'adresse à son fils Bertrand Domecq, officier marinier à Louisbourg, pour lui exprimer sa surprise et sa déception de ne pas avoir de ses nouvelles depuis son départ.
Catherine Dolabarats Despiaube écrit de Saint-Jean-de-Luz à Joannis Galant Dolabarats à Louisbourg pour lui donner des nouvelles de la famille et des conditions locales.
Jeanne de Chast, veuve Madaris, de Ciboure, écrit à Jean Laborde, négociant à Louisbourg, pour lui rappeler une dette concernant les salaires de son défunt mari François Madaris, qui travaillait comme matelot sur la goélette La Pitouche.
Samson Dufourq, de Saint-Jean-de-Luz, écrit à Monsieur Niquet, négociant à Louisbourg, pour informer de sa bonne santé et exprimer son souhait que Monsieur Niquet et sa famille se portent également bien.
Madame de Hirigoyen, depuis Ciboure, écrit à son époux, Mars de Hirigoyen, pour exprimer sa joie à la réception de sa lettre et son soulagement d'apprendre sa bonne santé via un certain Petain.
Michel Pradere, depuis Sare, écrit à Jacques Imbert, négociant à Louisbourg, pour lui faire part de son retour après avoir été capturé par les Anglais et emmené à Lisbonne suite à une prise de corsaire.
Maria de Lapits écrit à son fils Pierre Laborde, matelot à Louisbourg, depuis Saint Jean de Luz le 2 avril 1757, pour lui annoncer le décès de plusieurs membres de leur famille, y compris sa sœur et sa tante.