M. Barrau de Bayonne envoie une copie de lettre de M. Dupeyrat de Bordeaux aux négociants Beaubassin Silvain & compagnie à Louisbourg, concernant la récupération de dettes issues de la vente de cargaison du navire le St Esprit.
Françoise Barrère Hayet écrit à son époux, Pierre Hayet, à Louisbourg pour discuter d'un différend commercial avec Monsieur Dihare qui concerne la livraison d'une marchandise.
Dans sa lettre datée du 23 octobre 1756, Jean Barrère, depuis Bayonne, s'adresse à Jean Laborde à Louisbourg, lui faisant part de la réception de sa correspondance et des événements concernant le bateau "le Victorieux" (Dauphin de Louisbourg).
Jean Barrère (cadet) écrit à M. Morain (cadet) pour lui transmettre un paquet de la part de M. Daniel Augier de Charente, envoyé via le brigantin commandé par le sieur Marsans Larrolet.
Jean Barrère écrit à Guillaume Delort pour l'informer de l'envoi de plusieurs paires de souliers et escarpins, destinées à lui-même et à sa famille, inclus dans un envoi plus large par le bateau Le Dauphin.
Jean Barrère écrit à Jean Laborde pour lui informer de l'état de leurs comptes courants et des transactions commerciales récentes, mentionnant un débit de 10 livres.
Triplicata d'une lettre Jean Barrère écrit à Jean Laborde pour lui informer de l'état de leurs comptes courants et des transactions commerciales récentes, mentionnant un débit de 10 livres.
Dans sa lettre, Behola, prêtre, exprime initialement la réaction émotionnelle de la mère de Monsieur Saint-Martin Duronea à l'annonce de son mariage à Louisbourg, qui était marquée par une grande affliction transformée en larmes et cris.
Dans cette lettre datée du 14 mars 1757, envoyée de Bayonne par Monsieur Bertin et Bertrand Duvergé à Louis Bertin à Louisbourg, les expéditeurs détaillent une transaction financière.
Étienne-Pierre Cabarrus, dans sa lettre à M. Came de Saint Agne à Louisbourg, relate la réception de la commande de ce dernier et des retards occasionnés par l'attente du départ opportun d'un bateau pour le transport des marchandises.
Étienne-Pierre Cabarrus écrit à Michel Dacarette pour exprimer sa satisfaction de recevoir ses lettres et de pouvoir exécuter ses commandes, confirmant ainsi son attachement et son engagement à satisfaire les besoins de Dacarette à partir de Bayonne.
Dans cette lettre d'Étienne-Pierre Cabarrus à son frère Michel-Léon Cabarrus, le premier détaille leurs transactions commerciales et financières, notamment les paiements et les envois de marchandises.
Maniouri Camino écrit à Jean Laborde, négociant de la marine à Louisbourg, pour le suivi d'une procuration et de documents envoyés l'année précédente via le sieur Darroupé.
Fransa de Canderats veuve Lahiton, depuis Saint-Jean-de-Luz, écrit à son fils Jean Louis Lahiton, commis à Louisbourg, pour lui faire part de sa bonne santé et de celle de sa famille.
Peredos de Carette, depuis Bayonne, écrit au chevalier Du Brouhet, capitaine au régiment de Bourgogne à Louisbourg, pour l'informer de l'envoi des effets demandés, accompagnés d'une facture détaillée.
Peredos de Carette, depuis Bayonne, écrit au chevalier Du Brouhet, capitaine au régiment de Bourgogne à Louisbourg, pour l'informer de l'envoi des effets demandés, accompagnés d'une facture détaillée.
Dans sa lettre datée du 15 octobre 1754, Joannis Cassaro, depuis Léognan, s'adresse à un destinataire non spécifié pour lui rappeler un arrangement financier passé durant une période de guerre.
Jeanne de Chast, veuve Madaris, de Ciboure, écrit à Jean Laborde, négociant à Louisbourg, pour lui rappeler une dette concernant les salaires de son défunt mari François Madaris, qui travaillait comme matelot sur la goélette La Pitouche.
Étienne Dalbarade, depuis Hendaye le 24 mars 1757, écrit à son ami Louis Merlet à Louisbourg pour lui envoyer deux barils d'anchois par l'intermédiaire de Dominique Leblanc.
Dans sa lettre datée du premier mars 1757, Etienne Dalbarade s'adresse à Monsieur Dominique Leblanc pour s'excuser du retard dans l'envoi d'une charrette de barils d'anchois, en raison de l'absence d'un bouvier.
Etienne Dalbarade, depuis Hendaye, adresse une lettre à Monsieur Leblanc à Bayonne, datée du 10 mars 1757, pour l'informer de l'envoi d'un double d'une reconnaissance concernant cinquante-six barils d'anchois, avec les détails des arrangements pris…
Marion Daldabe écrit à son cousin, Dominique Leblanc à Bayonne, pour exprimer la joie de la famille après sa visite et le plaisir qu'il a apporté à un jeune garçon placé sous sa protection.
Ursulle Daranette, depuis Ascain, écrit à son fils Pierre Dharoste, marinier à Louisbourg, pour lui faire part de sa réception de sa lettre datée de décembre, exprimant sa joie de savoir qu'il est en bonne santé.
Dans cette lettre, Graçian Dargois s'adresse à son cousin Pierre d'Harrichury à Louisbourg pour lui exprimer ses respects et lui souhaiter santé et longévité.
Marie Dargois, écrivant à travers son fils, répond à une lettre reçue de Mademoiselle d'Harrichury, informant de son arrivée sûre à Bayonne et préparant le retour par bateau.
Gachina Darismendy, depuis Hendaye, écrit à son fils Dominice Dihource à Louisbourg pour lui exprimer son inquiétude due à l'absence de nouvelles de sa part.
Dans cette lettre du 6 mars 1757, le curé S. Darrache de Ciboure écrit à Monsieur Desclos, maître forgeron à Louisbourg, concernant une lettre de change envoyée pour le traitement médical de son fils.
Ms. Darretche, Desporte et Pierre Detchegoyen du Terribillon écrivent de Saint-Jean-de-Luz à Jean Laborde, trésorier des troupes à Louisbourg, pour lui demander un service spécifique.
Marie Darteguiette veuve Dargaiñarats, depuis Ciboure, écrit à Nicolas Larcher, négociant à Louisbourg, pour solliciter son aide urgente concernant la décharge du sel que son défunt mari avait chargé pour Larcher en 1755.