Un connoissement est un acte ou une reconnoissance sous signature privée, que l'armateur ou le capitaine d’un navire donne à un marchand après chargement des marchandises. Il précise où les porter à destination, en général moyennant un certain prix.
Duplicata de la la lettre de Lanne à Messieurs Beaubassin Silvain & Compagnie dans laquelle il exprime sa détresse face à l'impossibilité d'honorer les lettres de change qu'ils ont tirées sur lui, à cause de difficultés financières non spécifiées.
Maria Dihins écrit à sa fille Haurra Maria Hiriart pour lui exprimer sa joie d'avoir reçu des nouvelles de sa bonne santé, et de savoir que sa lettre du 16 décembre a été reçue.
Peredos de Carette, depuis Bayonne, écrit au chevalier Du Brouhet, capitaine au régiment de Bourgogne à Louisbourg, pour l'informer de l'envoi des effets demandés, accompagnés d'une facture détaillée.
Le duplicata décrit les ordres délivrés par Jean Lanne à Martin Lermet, capitaine du Dauphin de Louisbourg, pour préparer le navire à à l'expédition vers Louyisbourg et à la guerre selon les instructions de Jean Laborde.
Ce document décrit les détails de l'équipage du navire Le Dauphin de Louisbourg, comprenant des arrangements contractuels entre le capitaine Martin Lermet et l'armateur Jean Lanne, spécifiant les conditions de l'armement du navire, le nombre de…
Il était courant de poser à trois membres de l'équipage du navire capturé des questions standard pour découvrir la vérité sur la nationalité, la propriété et la destination prévue du navire, de sa cargaison et de son équipage.
Il était courant de poser à trois membres de l'équipage du navire capturé des questions standard pour découvrir la vérité sur la nationalité, la propriété et la destination prévue du navire, de sa cargaison et de son équipage.
Il était courant de poser à trois membres de l'équipage du navire capturé des questions standard pour découvrir la vérité sur la nationalité, la propriété et la destination prévue du navire, de sa cargaison et de son équipage.
Ce texte est un compte détaillant la réception et la vente de morue provenant du bateau Le Dauphin, pour le compte de Monsieur Laborde, Trésorier de la Marine de Louisbourg. Il décrit les quantités de morue sèche, avariée et verte reçues, ainsi que…
Ce document détaille les dépenses engagées lors du désarmement du navire Le Dauphin en 1756, sous le commandement du capitaine Harismendy et appartenant à Monsieur Laborde, Trésorier de la marine à Louisbourg.
Le document est une facture détaillée des marchandises chargées sur le navire Le Dauphin, à la demande de Monsieur Jean Laborde, trésorier à Louisbourg, sous le commandement du capitaine Martin Lermet.
Il s'agit d'un état des provisions et équipements manquants à bord du navire Le Dauphin, incluant deux barriques de cidre, un quintal de morue, deux plats de terre, et six cuillères.
Le texte contient un inventaire d'objets restés à bord du Dauphin, énumérant divers articles comme des instruments de navigation, de la vaisselle, un pavillon avec un flamme rouge, des barriques vides, et du matériel de cuisine, entre autres.
Marie Martine Duronea adresse une lettre à son frère, Saint-Martin Duronea, capitaine de navire à Louisbourg, où elle exprime ses sentiments mitigés concernant son mariage récent.
Un inconnu écrit à Bernat Haroqui pour lui faire part d'une triste nouvelle reçue de Louisbourg, transmise par sa tante Goana de Martincoenea, sans plus de détails.
Dans sa lettre datée du premier mars 1757, Etienne Dalbarade s'adresse à Monsieur Dominique Leblanc pour s'excuser du retard dans l'envoi d'une charrette de barils d'anchois, en raison de l'absence d'un bouvier.
Etienne Dalbarade, depuis Hendaye, adresse une lettre à Monsieur Leblanc à Bayonne, datée du 10 mars 1757, pour l'informer de l'envoi d'un double d'une reconnaissance concernant cinquante-six barils d'anchois, avec les détails des arrangements pris…
Étienne-Pierre Cabarrus écrit à Michel Dacarette pour exprimer sa satisfaction de recevoir ses lettres et de pouvoir exécuter ses commandes, confirmant ainsi son attachement et son engagement à satisfaire les besoins de Dacarette à partir de Bayonne.
Dans cette lettre, l'oncle de M. Lafitte, charpentier à Louisbourg, exprime son contentement suite à la réception d'une lettre de son neveu qui lui apporte de bonnes nouvelles concernant sa santé.
La femme de Marc écrit à Jean Laborde, trésorier du roi à Louisbourg, depuis Bayonne le 23 mars 1757, pour partager les difficultés rencontrées depuis qu'elle a dû suivre son mari en France sur ordre des autorités.
La femme de Marc écrit depuis Bayonne à Mme de Laboularderie à Louisbourg pour lui demander de l'aide, évoquant sa détresse et les difficultés rencontrées avec son mari après leur déménagement obligatoire à Bayonne.
Angélique Laparque, d'Hendaye, écrit à Louis Merlet à Louisbourg pour l'informer de la situation financière précaire dans laquelle elle se trouve, mentionnant ses difficultés économiques malgré l'envoi précédent de 600 livres par Merlet.
Dans sa lettre, Behola, prêtre, exprime initialement la réaction émotionnelle de la mère de Monsieur Saint-Martin Duronea à l'annonce de son mariage à Louisbourg, qui était marquée par une grande affliction transformée en larmes et cris.
B. Fagalde, depuis Urcuray, écrit à M. Berho, actuellement prisonnier à Basingstoke en Angleterre, pour lui faire part de sa compassion suite à sa capture et lui transmettre des nouvelles de sa famille qui est en bonne santé.