Lagunen arteko gutuna Ündüreineko (Zuberoa) Batista Carriqari idatzia, baina gutunean ez da sinadurarik.
[Lettre entre amis pour Batiste Carriqua, d'Undurein, en Soule, expédié depuis Montevideo, en Uruguay, par un expéditeur inconnu, car il n'y a…
La femme de Marc écrit depuis Bayonne à Mme de Laboularderie à Louisbourg pour lui demander de l'aide, évoquant sa détresse et les difficultés rencontrées avec son mari après leur déménagement obligatoire à Bayonne.
Les interrogatoires standard sont destinés à être administrés au nom du souverain Georges II dans les affaires de capture de navires et de marchandises prises comme prises de guerre. Ils couvrent divers aspects tels que la nationalité des témoins,…
Maria Iribarnek (Karrika) idatzitako gutuna Ündüreineko (Zuberoa) Kharika etxeko Franchoua Aguerri. Bukaeran badira hitz batzuk espainieraz ere.
Lettre pour François Aguer, dit Carrique, d'Undurein, en Soule, expédié depuis Buenos Aires, en…
Maria Iribarnek (Karrika) idatzitako gutuna Ündüreineko (Zuberoa) Kharika etxeko Franchoua Aguerri. Domingo Dolagaray mercado del Platako txerri saltzailea, Lagarde jauna, notarioa, aipatzen dira.
[Lettre pour François Aguer, dit Carrique,…
Maria Iribarnek (Karrika) idatzitako gutuna Ündüreineko (Zuberoa) Kharika etxeko Franchoua Aguerri. Domingo Dolagaray mercado del Platako txerri saltzailea, Lagarde jauna, notarioa, aipatzen dira.
[Lettre pour François Aguer, dit Carrique,…
La femme de Marc écrit à Jean Laborde, trésorier du roi à Louisbourg, depuis Bayonne le 23 mars 1757, pour partager les difficultés rencontrées depuis qu'elle a dû suivre son mari en France sur ordre des autorités.
Le manuscrit n'est pas totalement transcrit en raison de la lisibilité difficile de la reproduction numérique. L'acquit à caution se dit d'un billet que les commis de bureaux d'entrée du Royaume délivrent à un particulier, qui se rend caution de…
Cette attestation certifie que le bateau Le Dauphin de Louisbourg, commandé par Martin Lermet, a été autorisé à quitter le port de Bayonne chargé de diverses marchandises, notamment du vin, des souliers et de l'eau-de-vie, en ayant acquitté les…
Dans sa lettre du 14 février 1757 adressée à Messieurs Beaubassin Silvain & Compagnie à Louisbourg, M. Laborde de Saint-Jean-de-Luz évoque la gestion et la vente de produits marins, en particulier de maquereaux et de harengs.
Bertrand Lacomberry, écrivant depuis Bordeaux à son cousin Joseph Lustre à Louisbourg, exprime son contentement d'avoir pu remettre les lettres destinées à la femme de Joseph et se réjouit de la bonne santé rapportée de son cousin malgré les rumeurs…
Dans cette lettre, l'oncle de M. Lafitte, charpentier à Louisbourg, exprime son contentement suite à la réception d'une lettre de son neveu qui lui apporte de bonnes nouvelles concernant sa santé.
Jean Lafitte et Jeanne Michau écrivent à leur fils Joanis Lafitte Bourguignon pour lui dire qu'ils n'ont pas pu lui envoyer les outils prévus, car on les a dissuadés en pensant qu'il pourrait avoir quitté sa location.
Jean Lagarde, depuis Bayonne, écrit à Bernard Lafitte à Louisbourg le 20 mars 1757 pour confirmer l'envoi de marchandises et régler des détails financiers.
Catalin Lalanne informe son époux Esteban Gourdo qu'elle a bien reçu sa lettre ainsi qu'une lettre de change de 120 livres, dont elle a été payée, et qu'elle a fait dire les messes qu'il avait demandées.
Marie Lamarque écrit à son fils Bernat de Lupoy (Dupouy ou Dupuy), frère de celui cité en lettre 34) pour lui adresser ses salutations et exprimer sa déception de n'avoir reçu ni lettre ni salutation de sa part cette année.
La lettre de Lanne à Messieurs Beaubassin Silvain & Compagnie exprime sa détresse face à l'impossibilité d'honorer les lettres de change qu'ils ont tirées sur lui, à cause de difficultés financières non spécifiées.
Jean Lanne écrit à François Milly à Louisbourg depuis Bayonne le 3 avril 1757, pour répondre aux lettres précédemment reçues et s'excuser pour le manque de nouvelles, comme demandé par Jean Laborde.
M. Lanne adresse une lettre aux frères Delort à Louisbourg, datée du 3 avril 1757, pour confirmer la réception d'une lettre de change de 11 livres suite à la vente de quatre pièces de cordage en 1755.
Jean Lanne, en date du 4 avril 1757 à Bayonne, informe Jean Laborde, propriétaire du navire et trésorier de la marine à Louisbourg, du départ du bateau Le Dauphin et de la goélette Les Deux frères.