Joseph Guichard écrit à M. Dumaine, un négociant à Louisbourg, depuis Bayonne le 25 mars 1757, pour discuter de la liquidation des actifs restants de leur ancienne société.
Joseph Guichard, de Bayonne, adresse une lettre à Sébastien Charles Laborde à Louisbourg, datée du 25 mars 1757, dans laquelle il partage ses mésaventures financières et commerciales.
Dominique Hiriart, depuis Saint-Jean-de-Luz, écrit à Chrysostome Loppinot, aide major à Louisbourg, pour confirmer l'envoi de quatre caisses de vin de Claparet via le navire L'Adour de Bayonne, piloté par le capitaine Marsans Hirigoyen.
Mariattou de Loriague, veuve à Saint-Jean-de-Luz, écrit le 26 mars 1757 à son cousin Joannis Galant Dolabarats à Louisbourg, lui demandant d'obtenir un certificat de la part du commissaire de la marine confirmant les voyages que son fils François a…
Marie Delhuyar Harriague écrit de Hasparren à son époux Guillaume Harriague à Louisbourg, le 27 mars 1757, pour partager ses nouvelles personnelles et les défis domestiques rencontrés.
Étienne-Pierre Cabarrus, dans sa lettre à M. Came de Saint Agne à Louisbourg, relate la réception de la commande de ce dernier et des retards occasionnés par l'attente du départ opportun d'un bateau pour le transport des marchandises.
Étienne-Pierre Cabarrus écrit à Michel Dacarette pour exprimer sa satisfaction de recevoir ses lettres et de pouvoir exécuter ses commandes, confirmant ainsi son attachement et son engagement à satisfaire les besoins de Dacarette à partir de Bayonne.
Françoise Barrère Hayet écrit à son époux, Pierre Hayet, à Louisbourg pour discuter d'un différend commercial avec Monsieur Dihare qui concerne la livraison d'une marchandise.
Dans sa lettre, Domeings Dolhonde Paletore s'adresse à Pierre Leblanc, en profitant du retour de son fils pour lui transmettre ses respects et compliments.
Dans cette lettre de Joseph Guichard à M. Cabofie, datée du 28 mars 1757, Guichard rapporte les difficultés rencontrées lors de son voyage et de ses activités commerciales, notamment la dissolution de sa société à Louisbourg et la vente d'une…
Dans sa lettre adressée à Monseigneur d'Arche, évêque de Bayonne, le vicaire Duteits se plaint que M. St Bois refuse de lui payer l'intégralité de son honoraire convenu, qui inclut la bénédiction de l'air, une pratique dont il a été privé.
La lettre de Lanne à Messieurs Beaubassin Silvain & Compagnie exprime sa détresse face à l'impossibilité d'honorer les lettres de change qu'ils ont tirées sur lui, à cause de difficultés financières non spécifiées.
Le texte est une lettre écrite par Duchemin, adressée à Monsieur Lamoulinne, dans laquelle il transmet des remerciements et un retour de faveurs suite à un envoi de morue.
M. Legaigneur, devenu responsable du commerce familial à Caën suite au départ de son père, écrit à M. La Roche, marchand à Louisbourg, pour lui proposer ses services et souligner les avantages financiers d'une collaboration.
M. Legaigneur, négociant à Caën, adresse une lettre à M. Cabofy, marchand à Louisbourg, le 1er avril 1757, pour s'enquérir de sa santé et de celle de son épouse, tout en exprimant ses vœux pour leur bien-être.
M. Legaigneur, depuis Bayonne le 1er avril 1757, exprime sa surprise et son inquiétude face au manque de réponse de René Laussieux, actuellement à Louisbourg, à ses précédentes lettres.
Maria de Lapits écrit à son fils Pierre Laborde, matelot à Louisbourg, depuis Saint Jean de Luz le 2 avril 1757, pour lui annoncer le décès de plusieurs membres de leur famille, y compris sa sœur et sa tante.
Jean Lanne écrit à François Milly à Louisbourg depuis Bayonne le 3 avril 1757, pour répondre aux lettres précédemment reçues et s'excuser pour le manque de nouvelles, comme demandé par Jean Laborde.
M. Lanne adresse une lettre aux frères Delort à Louisbourg, datée du 3 avril 1757, pour confirmer la réception d'une lettre de change de 11 livres suite à la vente de quatre pièces de cordage en 1755.
Jean Lanne, en date du 4 avril 1757 à Bayonne, informe Jean Laborde, propriétaire du navire et trésorier de la marine à Louisbourg, du départ du bateau Le Dauphin et de la goélette Les Deux frères.
Les interrogatoires standard sont destinés à être administrés au nom du souverain Georges II dans les affaires de capture de navires et de marchandises prises comme prises de guerre. Ils couvrent divers aspects tels que la nationalité des témoins,…
Il était courant de poser à trois membres de l'équipage du navire capturé des questions standard pour découvrir la vérité sur la nationalité, la propriété et la destination prévue du navire, de sa cargaison et de son équipage.
Il était courant de poser à trois membres de l'équipage du navire capturé des questions standard pour découvrir la vérité sur la nationalité, la propriété et la destination prévue du navire, de sa cargaison et de son équipage.
Il était courant de poser à trois membres de l'équipage du navire capturé des questions standard pour découvrir la vérité sur la nationalité, la propriété et la destination prévue du navire, de sa cargaison et de son équipage.
Cette déclaration sous serment contient des informations capitales, le capitaine de la prise, et combien de documents et de lettres étaient à bord du navire Le Dauphin.
Monsieur Jauretche, marin-pécheur, ne devait pas savoir lire et écrire. Le papier semble être écrit de la main de Dominique Leblanc. Nous ne retrouvons pas le nom de M. Jauretche dans le rôle d'équipage du Dauphin.