Dans sa lettre datée du 15 octobre 1754, Joannis Cassaro, depuis Léognan, s'adresse à un destinataire non spécifié pour lui rappeler un arrangement financier passé durant une période de guerre.
Jean Sartho, depuis Saint Jean de Luz, écrit à un ami à Louisbourg, lui rappelant leurs connexions passées et exprimant sa gratitude pour l'aide précédemment reçue.
Dans cette lettre, Graçian Dargois s'adresse à son cousin Pierre d'Harrichury à Louisbourg pour lui exprimer ses respects et lui souhaiter santé et longévité.
Dans cette lettre, l'oncle de M. Lafitte, charpentier à Louisbourg, exprime son contentement suite à la réception d'une lettre de son neveu qui lui apporte de bonnes nouvelles concernant sa santé.
Françoise Barrère Hayet écrit à son époux Pierre, exprimant sa joie d'apprendre qu'il est en bonne santé et assurant que sa propre santé et celle de leur famille sont excellentes grâce à Dieu.
Joana Aprendisteguy informe son époux Martin Darango que toute la famille est en bonne santé et exprime son amour et son désir ardent de le voir revenir.
Marie Bastres informe son fils Étienne Lafontaine qu'elle a été contente de recevoir sa dernière lettre annonçant son départ pour Louisbourg et profite de cette occasion pour lui donner des nouvelles de sa bonne santé ainsi que celle de tous ses…
Pierre Haraneder écrit à son neveu Pierre Echegoyen pour exprimer sa déception d'apprendre qu'il ne se comporte pas comme attendu et attribue cela à de mauvaises fréquentations dans le pays où il se trouve.
Joanna Castillou Duhalde écrit à son époux Jean Castillou pour l'informer de leur situation difficile et exprime son souhait qu'il soit en meilleure position.
Betry Daguerre informe son frère Martincho Daguerre de sa bonne santé ainsi que de celle de leur famille, bien que son épouse soit gravement malade depuis neuf mois.
Maria de Saint Martin informe son fils Joanis Diharce qu'elle a reçu la lettre de change et l'argent qu'il a envoyé, pour lesquels elle le remercie et prie pour sa santé.
Marie de Çubiet écrit à Laurens Perusquy pour exprimer sa déception de ne pas avoir reçu de lettres de sa part, bien que des habitants de Sare lui aient assuré qu'il est en bonne santé et qu'il gagne un peu d'argent.
Marie Berrogain écrit à son amie Catherine Laborde pour lui souhaiter une bonne santé et l'informer que sa propre santé est fragile, ayant subi des chagrins et des persécutions qui l'ont conduite à un procès.