Maniouri Camino écrit à Jean Laborde, négociant de la marine à Louisbourg, pour le suivi d'une procuration et de documents envoyés l'année précédente via le sieur Darroupé.
Maria Bortaire informe Joannis Hiribarren que sa santé, ainsi que celle de son épouse et de leurs enfants, est bonne et souhaite qu'il en soit de même pour lui.
Maria de Lapits écrit à son fils Pierre Laborde, matelot à Louisbourg, depuis Saint Jean de Luz le 2 avril 1757, pour lui annoncer le décès de plusieurs membres de leur famille, y compris sa sœur et sa tante.
Maria de Saint Martin informe son fils Joanis Diharce qu'elle a reçu la lettre de change et l'argent qu'il a envoyé, pour lesquels elle le remercie et prie pour sa santé.
Maria Dihins écrit à sa fille Haurra Maria Hiriart pour lui dire qu'elle a reçu sa lettre du 16 décembre et est heureuse d'avoir de ses nouvelles et de savoir qu'elle est en bonne santé.
Maria Diturbide écrit depuis Sare à sa belle-sœur Paillo Diturbide à Louisbourg pour partager des nouvelles familiales et exprimer son souhait de bonne santé pour elle.
Maria Pasqual, depuis Ossès, écrit à son père, Martin Pasqual, charpentier à Louisbourg, pour lui exprimer son affection et son respect, tout en l'informant de sa bonne santé ainsi que celle de sa tante.
Marianne Haraneder Darguibel écrit depuis Bayonne à Joannis Galant Dolabarats, son cousin et capitaine de port à Louisbourg, pour l'informer du legs d'une créance par Domins Etchechoury, décédée en avril de l'année précédente.
Mariattou de Loriague, veuve à Saint-Jean-de-Luz, écrit le 26 mars 1757 à son cousin Joannis Galant Dolabarats à Louisbourg, lui demandant d'obtenir un certificat de la part du commissaire de la marine confirmant les voyages que son fils François a…
Marie Bastres informe son fils Étienne Lafontaine qu'elle a été contente de recevoir sa dernière lettre annonçant son départ pour Louisbourg et profite de cette occasion pour lui donner des nouvelles de sa bonne santé ainsi que celle de tous ses…
Marie Berrogain écrit à son amie Catherine Laborde pour lui souhaiter une bonne santé et l'informer que sa propre santé est fragile, ayant subi des chagrins et des persécutions qui l'ont conduite à un procès.
Marie d’Etcheverry écrit à son fils Pierre Daguerre pour lui faire part de son état misérable et lui dire qu'elle a reçu sa lettre, bien que les nouvelles ne soient pas à la hauteur de ses attentes.
Marie Darburu écrit à sa fille Marie Duhalde Harboure pour lui donner des nouvelles et s'excuser de la rareté de ses lettres, bien qu'elle en ait envoyé plusieurs par différents messagers, dont certains ont été capturés par les Anglais.
Marie Dargois, écrivant à travers son fils, répond à une lettre reçue de Mademoiselle d'Harrichury, informant de son arrivée sûre à Bayonne et préparant le retour par bateau.
Marie Darteguiette veuve Dargaiñarats, depuis Ciboure, écrit à Nicolas Larcher, négociant à Louisbourg, pour solliciter son aide urgente concernant la décharge du sel que son défunt mari avait chargé pour Larcher en 1755.
Marie de Çubiet écrit à Laurens Perusquy pour exprimer sa déception de ne pas avoir reçu de lettres de sa part, bien que des habitants de Sare lui aient assuré qu'il est en bonne santé et qu'il gagne un peu d'argent.
Marie Delhuyar Harriague écrit de Hasparren à son époux Guillaume Harriague à Louisbourg, le 27 mars 1757, pour partager ses nouvelles personnelles et les défis domestiques rencontrés.
Marie Lamarque écrit à son fils Bernat de Lupoy (Dupouy ou Dupuy), frère de celui cité en lettre 34) pour lui adresser ses salutations et exprimer sa déception de n'avoir reçu ni lettre ni salutation de sa part cette année.
Marie Marquerie écrit à son frère, un négociant à Louisbourg, exprimant sa détresse face au manque de nouvelles de sa part, ce qui l'amène à s'inquiéter pour sa vie.
Marie Martine Duronea écrit à sa sœur Perinne Dupont Duronea à Louisbourg, exprimant son bonheur pour son mariage, non basé sur les éloges familiaux, mais sur la réputation publique favorable de Perinne.
Marion Daldabe écrit à son cousin, Dominique Leblanc à Bayonne, pour exprimer la joie de la famille après sa visite et le plaisir qu'il a apporté à un jeune garçon placé sous sa protection.
Marthe Mirassou, depuis Maslacq, exprime à son fils Bernard Lafitte, maître charpentier à Louisbourg, sa gratitude pour les présents reçus via Monsieur Lagarde, à l'exception d'une lettre de change différée.
Marthe Mirassou, depuis Maslacq, écrit à Jacques Lafitte, maître charpentier à Louisbourg, pour exprimer son désespoir concernant les problèmes causés par son frère Bernard.