Marie d’Etcheverry écrit à son fils Pierre Daguerre pour lui faire part de son état misérable et lui dire qu'elle a reçu sa lettre, bien que les nouvelles ne soient pas à la hauteur de ses attentes.
Gachina de Biscarrondo écrit à son frère Patchiqu de Biscarrondo pour lui dire que toute la famille va bien, bien que leur mère et sa femme aient été désespérées, cette dernière s'étant même 'échappée' avant d''aller mieux'.
Miguel Harismendy écrit à son fils Bernard pour exprimer son mécontentement de ne pas avoir eu de nouvelles de lui depuis deux ans, bien qu'il ait appris que Bernard s'est marié et a fait fortune.
Maria Bortaire informe Joannis Hiribarren que sa santé, ainsi que celle de son épouse et de leurs enfants, est bonne et souhaite qu'il en soit de même pour lui.
Maria Dihins écrit à sa fille Haurra Maria Hiriart pour lui exprimer sa joie d'avoir reçu des nouvelles de sa bonne santé, et de savoir que sa lettre du 16 décembre a été reçue.
Maria Dihins écrit à sa fille Haurra Maria Hiriart pour lui dire qu'elle a reçu sa lettre du 16 décembre et est heureuse d'avoir de ses nouvelles et de savoir qu'elle est en bonne santé.
Joanes Matet informe son fils Joannes que toute la famille est en bonne santé et souhaite la même chose pour lui, tout en exprimant le désir de le revoir.
Betri Etcheberry informe son fils Joannes qu'ils lui envoient cette lettre après deux précédentes restées sans réponse, expliquant que ce n'est pas leur faute si leurs lettres ne lui sont pas parvenues.
Marie Berrogain écrit à son amie Catherine Laborde pour lui souhaiter une bonne santé et l'informer que sa propre santé est fragile, ayant subi des chagrins et des persécutions qui l'ont conduite à un procès.
Marie de Çubiet écrit à Laurens Perusquy pour exprimer sa déception de ne pas avoir reçu de lettres de sa part, bien que des habitants de Sare lui aient assuré qu'il est en bonne santé et qu'il gagne un peu d'argent.
Maria de Saint Martin informe son fils Joanis Diharce qu'elle a reçu la lettre de change et l'argent qu'il a envoyé, pour lesquels elle le remercie et prie pour sa santé.
Betry Daguerre informe son frère Martincho Daguerre de sa bonne santé ainsi que de celle de leur famille, bien que son épouse soit gravement malade depuis neuf mois.
Pierre Haraneder écrit à son neveu Pierre Echegoyen pour exprimer sa déception d'apprendre qu'il ne se comporte pas comme attendu et attribue cela à de mauvaises fréquentations dans le pays où il se trouve.