Catherine Dolabarats Despiaube de Saint-Jean-de-Luz écrit à son mari, Joannis Galant Dolabarats, capitaine de port à Louisbourg, pour lui donner des nouvelles de la famille et informer de la situation locale et de la cour de France.
Dans cette lettre du 5 mars 1757, Catherine Dolabarats Despiaube s'adresse à Gracieuse Daguerre, gouvernante de Monsieur Dolabarats à Louisbourg, pour exprimer l'inquiétude de sa mère face au manque de nouvelles de sa part, ce qui est perçu comme un…
Catherine Detchegaray, depuis Ascain, écrit à son époux Pierre Detchevers en Martinique, exprimant son inquiétude due à l'absence de nouvelles directes de sa part, ce qui suscite également la surprise parmi leurs amis.
Catalin Lalanne informe son époux Esteban Gourdo qu'elle a bien reçu sa lettre ainsi qu'une lettre de change de 120 livres, dont elle a été payée, et qu'elle a fait dire les messes qu'il avait demandées.
Betry Daguerre informe son frère Martincho Daguerre de sa bonne santé ainsi que de celle de leur famille, bien que son épouse soit gravement malade depuis neuf mois.
Betri Etcheberry informe son fils Joannes qu'ils lui envoient cette lettre après deux précédentes restées sans réponse, expliquant que ce n'est pas leur faute si leurs lettres ne lui sont pas parvenues.
Bertrand Lacomberry, écrivant depuis Bordeaux à son cousin Joseph Lustre à Louisbourg, exprime son contentement d'avoir pu remettre les lettres destinées à la femme de Joseph et se réjouit de la bonne santé rapportée de son cousin malgré les rumeurs…
Bertrand Duvergé écrit à Jacques Imbert, négociant à Louisbourg, pour l'informer de plusieurs tentatives de lui envoyer des lettres via différentes goélettes et le capitaine Marsans Larroulet.
Bertrand Duvergé, écrivant de Bayonne à Jacques Imbert à Louisbourg, exprime des préoccupations concernant les arrangements financiers et commerciaux entre eux, en particulier sur la manière de gérer leurs comptes et la participation de Lannelongue…
Bertrand Duvergé, depuis Bayonne, écrit à Augustin de Boschenry de Drucour, gouverneur de l'Île Royale à Louisbourg, pour accuser réception de sa lettre et confirmer la livraison d'une commande de morue à M. de Lalande Gayon via Nantes.
B. Fagalde, depuis Urcuray, écrit à M. Berho, actuellement prisonnier à Basingstoke en Angleterre, pour lui faire part de sa compassion suite à sa capture et lui transmettre des nouvelles de sa famille qui est en bonne santé.
Dans sa lettre, Behola, prêtre, exprime initialement la réaction émotionnelle de la mère de Monsieur Saint-Martin Duronea à l'annonce de son mariage à Louisbourg, qui était marquée par une grande affliction transformée en larmes et cris.
Angélique Laparque, d'Hendaye, écrit à Louis Merlet à Louisbourg pour l'informer de la situation financière précaire dans laquelle elle se trouve, mentionnant ses difficultés économiques malgré l'envoi précédent de 600 livres par Merlet.
La femme de Marc écrit depuis Bayonne à Mme de Laboularderie à Louisbourg pour lui demander de l'aide, évoquant sa détresse et les difficultés rencontrées avec son mari après leur déménagement obligatoire à Bayonne.
La femme de Marc écrit à Jean Laborde, trésorier du roi à Louisbourg, depuis Bayonne le 23 mars 1757, pour partager les difficultés rencontrées depuis qu'elle a dû suivre son mari en France sur ordre des autorités.
Dans cette lettre, l'oncle de M. Lafitte, charpentier à Louisbourg, exprime son contentement suite à la réception d'une lettre de son neveu qui lui apporte de bonnes nouvelles concernant sa santé.
Étienne-Pierre Cabarrus écrit à Michel Dacarette pour exprimer sa satisfaction de recevoir ses lettres et de pouvoir exécuter ses commandes, confirmant ainsi son attachement et son engagement à satisfaire les besoins de Dacarette à partir de Bayonne.
Etienne Dalbarade, depuis Hendaye, adresse une lettre à Monsieur Leblanc à Bayonne, datée du 10 mars 1757, pour l'informer de l'envoi d'un double d'une reconnaissance concernant cinquante-six barils d'anchois, avec les détails des arrangements pris…
Dans sa lettre datée du premier mars 1757, Etienne Dalbarade s'adresse à Monsieur Dominique Leblanc pour s'excuser du retard dans l'envoi d'une charrette de barils d'anchois, en raison de l'absence d'un bouvier.
Un inconnu écrit à Bernat Haroqui pour lui faire part d'une triste nouvelle reçue de Louisbourg, transmise par sa tante Goana de Martincoenea, sans plus de détails.
Marie Martine Duronea adresse une lettre à son frère, Saint-Martin Duronea, capitaine de navire à Louisbourg, où elle exprime ses sentiments mitigés concernant son mariage récent.
Le texte contient un inventaire d'objets restés à bord du Dauphin, énumérant divers articles comme des instruments de navigation, de la vaisselle, un pavillon avec un flamme rouge, des barriques vides, et du matériel de cuisine, entre autres.
Il s'agit d'un état des provisions et équipements manquants à bord du navire Le Dauphin, incluant deux barriques de cidre, un quintal de morue, deux plats de terre, et six cuillères.
Le document est une facture détaillée des marchandises chargées sur le navire Le Dauphin, à la demande de Monsieur Jean Laborde, trésorier à Louisbourg, sous le commandement du capitaine Martin Lermet.