Catherine Dolabarats Despiaube écrit de Saint-Jean-de-Luz à Joannis Galant Dolabarats à Louisbourg pour lui donner des nouvelles de la famille et des conditions locales.
J. G. Larreguy, depuis Saint-Jean-de-Luz, informe Michel Delort, négociant à Louisbourg, des dernières aventures maritimes et des expéditions récentes, tout en espérant réparer les éventuelles erreurs lors de la prochaine campagne en mai.
Bertrand Duvergé, depuis Bayonne, écrit à Augustin de Boschenry de Drucour, gouverneur de l'Île Royale à Louisbourg, pour accuser réception de sa lettre et confirmer la livraison d'une commande de morue à M. de Lalande Gayon via Nantes.
B. Fagalde, depuis Urcuray, écrit à M. Berho, actuellement prisonnier à Basingstoke en Angleterre, pour lui faire part de sa compassion suite à sa capture et lui transmettre des nouvelles de sa famille qui est en bonne santé.
Bertrand Duvergé, écrivant de Bayonne à Jacques Imbert à Louisbourg, exprime des préoccupations concernant les arrangements financiers et commerciaux entre eux, en particulier sur la manière de gérer leurs comptes et la participation de Lannelongue…
Jeanne de Chast, veuve Madaris, de Ciboure, écrit à Jean Laborde, négociant à Louisbourg, pour lui rappeler une dette concernant les salaires de son défunt mari François Madaris, qui travaillait comme matelot sur la goélette La Pitouche.
Estebeny Detchegoyen, depuis Saint-Jean-de-Luz, adresse une lettre à Jean Louis Lahiton à Louisbourg, lui rappelant son engagement de rembourser la somme de 420 livres destinée à la subsistance de leur famille.
Maria Pasqual, depuis Ossès, écrit à son père, Martin Pasqual, charpentier à Louisbourg, pour lui exprimer son affection et son respect, tout en l'informant de sa bonne santé ainsi que celle de sa tante.
Samson Dufourq, de Saint-Jean-de-Luz, écrit à Monsieur Niquet, négociant à Louisbourg, pour informer de sa bonne santé et exprimer son souhait que Monsieur Niquet et sa famille se portent également bien.
Madame de Hirigoyen, depuis Ciboure, écrit à son époux, Mars de Hirigoyen, pour exprimer sa joie à la réception de sa lettre et son soulagement d'apprendre sa bonne santé via un certain Petain.
Michel Pradere, depuis Sare, écrit à Jacques Imbert, négociant à Louisbourg, pour lui faire part de son retour après avoir été capturé par les Anglais et emmené à Lisbonne suite à une prise de corsaire.
Fransa de Canderats veuve Lahiton, depuis Saint-Jean-de-Luz, écrit à son fils Jean Louis Lahiton, commis à Louisbourg, pour lui faire part de sa bonne santé et de celle de sa famille.
Marianne Haraneder Darguibel écrit depuis Bayonne à Joannis Galant Dolabarats, son cousin et capitaine de port à Louisbourg, pour l'informer du legs d'une créance par Domins Etchechoury, décédée en avril de l'année précédente.
Peredos de Carette, depuis Bayonne, écrit au chevalier Du Brouhet, capitaine au régiment de Bourgogne à Louisbourg, pour l'informer de l'envoi des effets demandés, accompagnés d'une facture détaillée.
Bertrand Duvergé écrit à Jacques Imbert, négociant à Louisbourg, pour l'informer de plusieurs tentatives de lui envoyer des lettres via différentes goélettes et le capitaine Marsans Larroulet.
Marie Darteguiette veuve Dargaiñarats, depuis Ciboure, écrit à Nicolas Larcher, négociant à Louisbourg, pour solliciter son aide urgente concernant la décharge du sel que son défunt mari avait chargé pour Larcher en 1755.
Saint-Jean Monsegur, depuis Ciboure, adresse une lettre à son neveu Saint-Martin Duronea à Louisbourg, félicitant celui-ci pour son récent mariage et lui souhaitant de vivre une vie de famille harmonieuse tout en se montrant plus attentionné envers…
Marie Marquerie écrit à son frère, un négociant à Louisbourg, exprimant sa détresse face au manque de nouvelles de sa part, ce qui l'amène à s'inquiéter pour sa vie.
Maria Diturbide écrit depuis Sare à sa belle-sœur Paillo Diturbide à Louisbourg pour partager des nouvelles familiales et exprimer son souhait de bonne santé pour elle.
Jean Barrère (cadet) écrit à M. Morain (cadet) pour lui transmettre un paquet de la part de M. Daniel Augier de Charente, envoyé via le brigantin commandé par le sieur Marsans Larrolet.
Jean Barrère écrit à Guillaume Delort pour l'informer de l'envoi de plusieurs paires de souliers et escarpins, destinées à lui-même et à sa famille, inclus dans un envoi plus large par le bateau Le Dauphin.
Jean Barrère écrit à Jean Laborde pour lui informer de l'état de leurs comptes courants et des transactions commerciales récentes, mentionnant un débit de 10 livres.
Marion Daldabe écrit à son cousin, Dominique Leblanc à Bayonne, pour exprimer la joie de la famille après sa visite et le plaisir qu'il a apporté à un jeune garçon placé sous sa protection.
La femme de Marc écrit à Jean Laborde, trésorier du roi à Louisbourg, depuis Bayonne le 23 mars 1757, pour partager les difficultés rencontrées depuis qu'elle a dû suivre son mari en France sur ordre des autorités.
La femme de Marc écrit depuis Bayonne à Mme de Laboularderie à Louisbourg pour lui demander de l'aide, évoquant sa détresse et les difficultés rencontrées avec son mari après leur déménagement obligatoire à Bayonne.
Dominique Hiriart, depuis Saint-Jean-de-Luz, écrit à M. Jouet, un négociant à Louisbourg, pour confirmer la réception de sa lettre qui mentionne la vente de trois pièces de rets et discuter de transactions commerciales.
Madame veuve Lebret, depuis Saint-Jean-de-Luz, adresse une lettre à Jacques Imbert, négociant à Louisbourg, le 24 mars 1757, pour régler une affaire commerciale concernant des rets (filets) vendus. Elle informe Imbert que Monsieur Hiriboure, qui…
Étienne Dalbarade, depuis Hendaye le 24 mars 1757, écrit à son ami Louis Merlet à Louisbourg pour lui envoyer deux barils d'anchois par l'intermédiaire de Dominique Leblanc.