Étienne-Pierre Cabarrus, dans sa lettre à M. Came de Saint Agne à Louisbourg, relate la réception de la commande de ce dernier et des retards occasionnés par l'attente du départ opportun d'un bateau pour le transport des marchandises.
Marie Delhuyar Harriague écrit de Hasparren à son époux Guillaume Harriague à Louisbourg, le 27 mars 1757, pour partager ses nouvelles personnelles et les défis domestiques rencontrés.
Mariattou de Loriague, veuve à Saint-Jean-de-Luz, écrit le 26 mars 1757 à son cousin Joannis Galant Dolabarats à Louisbourg, lui demandant d'obtenir un certificat de la part du commissaire de la marine confirmant les voyages que son fils François a…
Dominique Hiriart, depuis Saint-Jean-de-Luz, écrit à Chrysostome Loppinot, aide major à Louisbourg, pour confirmer l'envoi de quatre caisses de vin de Claparet via le navire L'Adour de Bayonne, piloté par le capitaine Marsans Hirigoyen.
Joseph Guichard, de Bayonne, adresse une lettre à Sébastien Charles Laborde à Louisbourg, datée du 25 mars 1757, dans laquelle il partage ses mésaventures financières et commerciales.
Joseph Guichard écrit à M. Dumaine, un négociant à Louisbourg, depuis Bayonne le 25 mars 1757, pour discuter de la liquidation des actifs restants de leur ancienne société.
Étienne Dalbarade, depuis Hendaye le 24 mars 1757, écrit à son ami Louis Merlet à Louisbourg pour lui envoyer deux barils d'anchois par l'intermédiaire de Dominique Leblanc.
Madame veuve Lebret, depuis Saint-Jean-de-Luz, adresse une lettre à Jacques Imbert, négociant à Louisbourg, le 24 mars 1757, pour régler une affaire commerciale concernant des rets (filets) vendus. Elle informe Imbert que Monsieur Hiriboure, qui…
Dominique Hiriart, depuis Saint-Jean-de-Luz, écrit à M. Jouet, un négociant à Louisbourg, pour confirmer la réception de sa lettre qui mentionne la vente de trois pièces de rets et discuter de transactions commerciales.
La femme de Marc écrit depuis Bayonne à Mme de Laboularderie à Louisbourg pour lui demander de l'aide, évoquant sa détresse et les difficultés rencontrées avec son mari après leur déménagement obligatoire à Bayonne.
La femme de Marc écrit à Jean Laborde, trésorier du roi à Louisbourg, depuis Bayonne le 23 mars 1757, pour partager les difficultés rencontrées depuis qu'elle a dû suivre son mari en France sur ordre des autorités.
Marion Daldabe écrit à son cousin, Dominique Leblanc à Bayonne, pour exprimer la joie de la famille après sa visite et le plaisir qu'il a apporté à un jeune garçon placé sous sa protection.
Jean Barrère écrit à Jean Laborde pour lui informer de l'état de leurs comptes courants et des transactions commerciales récentes, mentionnant un débit de 10 livres.
Jean Barrère écrit à Guillaume Delort pour l'informer de l'envoi de plusieurs paires de souliers et escarpins, destinées à lui-même et à sa famille, inclus dans un envoi plus large par le bateau Le Dauphin.
Jean Barrère (cadet) écrit à M. Morain (cadet) pour lui transmettre un paquet de la part de M. Daniel Augier de Charente, envoyé via le brigantin commandé par le sieur Marsans Larrolet.
Maria Diturbide écrit depuis Sare à sa belle-sœur Paillo Diturbide à Louisbourg pour partager des nouvelles familiales et exprimer son souhait de bonne santé pour elle.
Marie Marquerie écrit à son frère, un négociant à Louisbourg, exprimant sa détresse face au manque de nouvelles de sa part, ce qui l'amène à s'inquiéter pour sa vie.
Saint-Jean Monsegur, depuis Ciboure, adresse une lettre à son neveu Saint-Martin Duronea à Louisbourg, félicitant celui-ci pour son récent mariage et lui souhaitant de vivre une vie de famille harmonieuse tout en se montrant plus attentionné envers…
Marie Darteguiette veuve Dargaiñarats, depuis Ciboure, écrit à Nicolas Larcher, négociant à Louisbourg, pour solliciter son aide urgente concernant la décharge du sel que son défunt mari avait chargé pour Larcher en 1755.
Bertrand Duvergé écrit à Jacques Imbert, négociant à Louisbourg, pour l'informer de plusieurs tentatives de lui envoyer des lettres via différentes goélettes et le capitaine Marsans Larroulet.
Peredos de Carette, depuis Bayonne, écrit au chevalier Du Brouhet, capitaine au régiment de Bourgogne à Louisbourg, pour l'informer de l'envoi des effets demandés, accompagnés d'une facture détaillée.
Marianne Haraneder Darguibel écrit depuis Bayonne à Joannis Galant Dolabarats, son cousin et capitaine de port à Louisbourg, pour l'informer du legs d'une créance par Domins Etchechoury, décédée en avril de l'année précédente.
Fransa de Canderats veuve Lahiton, depuis Saint-Jean-de-Luz, écrit à son fils Jean Louis Lahiton, commis à Louisbourg, pour lui faire part de sa bonne santé et de celle de sa famille.
Michel Pradere, depuis Sare, écrit à Jacques Imbert, négociant à Louisbourg, pour lui faire part de son retour après avoir été capturé par les Anglais et emmené à Lisbonne suite à une prise de corsaire.
Madame de Hirigoyen, depuis Ciboure, écrit à son époux, Mars de Hirigoyen, pour exprimer sa joie à la réception de sa lettre et son soulagement d'apprendre sa bonne santé via un certain Petain.
Samson Dufourq, de Saint-Jean-de-Luz, écrit à Monsieur Niquet, négociant à Louisbourg, pour informer de sa bonne santé et exprimer son souhait que Monsieur Niquet et sa famille se portent également bien.
Maria Pasqual, depuis Ossès, écrit à son père, Martin Pasqual, charpentier à Louisbourg, pour lui exprimer son affection et son respect, tout en l'informant de sa bonne santé ainsi que celle de sa tante.
Estebeny Detchegoyen, depuis Saint-Jean-de-Luz, adresse une lettre à Jean Louis Lahiton à Louisbourg, lui rappelant son engagement de rembourser la somme de 420 livres destinée à la subsistance de leur famille.
Jeanne de Chast, veuve Madaris, de Ciboure, écrit à Jean Laborde, négociant à Louisbourg, pour lui rappeler une dette concernant les salaires de son défunt mari François Madaris, qui travaillait comme matelot sur la goélette La Pitouche.