Dans cette lettre d'Étienne-Pierre Cabarrus à son frère Michel-Léon Cabarrus, le premier détaille leurs transactions commerciales et financières, notamment les paiements et les envois de marchandises.
François Desclos écrit à sa mère, Madame Detchepare à Louisbourg, pour lui informer de son arrivée en bonne santé à Socoa et de son installation grâce à l'accueil de Magdelle Pitré.
Françoise Barrère Hayet écrit à son époux, Pierre Hayet, à Louisbourg pour discuter d'un différend commercial avec Monsieur Dihare qui concerne la livraison d'une marchandise.
Fransa de Canderats veuve Lahiton, depuis Saint-Jean-de-Luz, écrit à son fils Jean Louis Lahiton, commis à Louisbourg, pour lui faire part de sa bonne santé et de celle de sa famille.
Gachina Darismendy, depuis Hendaye, écrit à son fils Dominice Dihource à Louisbourg pour lui exprimer son inquiétude due à l'absence de nouvelles de sa part.
Dans cette lettre, Graçian Dargois s'adresse à son cousin Pierre d'Harrichury à Louisbourg pour lui exprimer ses respects et lui souhaiter santé et longévité.
J. G. Larreguy, depuis Saint-Jean-de-Luz, informe Michel Delort, négociant à Louisbourg, des dernières aventures maritimes et des expéditions récentes, tout en espérant réparer les éventuelles erreurs lors de la prochaine campagne en mai.
Dans cette lettre datée du 8 décembre 1756, Jacques Imbert et Jean Baptiste Lannelongue, écrivant depuis Louisbourg, informent Bertrand Duvergé, un négociant de Bayonne, qu'ils ont émis un mandat sur lui.
Jean Barrère écrit à Guillaume Delort pour l'informer de l'envoi de plusieurs paires de souliers et escarpins, destinées à lui-même et à sa famille, inclus dans un envoi plus large par le bateau Le Dauphin.
Dans sa lettre datée du 23 octobre 1756, Jean Barrère, depuis Bayonne, s'adresse à Jean Laborde à Louisbourg, lui faisant part de la réception de sa correspondance et des événements concernant le bateau "le Victorieux" (Dauphin de Louisbourg).
Jean Barrère écrit à Jean Laborde pour lui informer de l'état de leurs comptes courants et des transactions commerciales récentes, mentionnant un débit de 10 livres.
Jean Barrère (cadet) écrit à M. Morain (cadet) pour lui transmettre un paquet de la part de M. Daniel Augier de Charente, envoyé via le brigantin commandé par le sieur Marsans Larrolet.
Jean Desbiey écrit de Bayonne au chevalier de Drucour, Gouverneur de l'Isle Royale à Louisbourg, pour l'informer de l'envoi de cent bouteilles de vin blanc d'Anglet.
Jean Lagarde, depuis Bayonne, écrit à Bernard Lafitte à Louisbourg le 20 mars 1757 pour confirmer l'envoi de marchandises et régler des détails financiers.
Jean Lanne écrit à François Milly à Louisbourg depuis Bayonne le 3 avril 1757, pour répondre aux lettres précédemment reçues et s'excuser pour le manque de nouvelles, comme demandé par Jean Laborde.
Jean Lanne, en date du 4 avril 1757 à Bayonne, informe Jean Laborde, propriétaire du navire et trésorier de la marine à Louisbourg, du départ du bateau Le Dauphin et de la goélette Les Deux frères.
La lettre de Lanne à Messieurs Beaubassin Silvain & Compagnie exprime sa détresse face à l'impossibilité d'honorer les lettres de change qu'ils ont tirées sur lui, à cause de difficultés financières non spécifiées.
M. Lanne adresse une lettre aux frères Delort à Louisbourg, datée du 3 avril 1757, pour confirmer la réception d'une lettre de change de 11 livres suite à la vente de quatre pièces de cordage en 1755.
Jean Lirman écrit à Simon Gotière de Bayonne, exprimant ses respects et se renseignant sur l'état de santé de Simon et de sa famille, tout en demandant des nouvelles d'un billet et de divers prêts qu'il a faits.
Jean Sartho, depuis Saint Jean de Luz, écrit à un ami à Louisbourg, lui rappelant leurs connexions passées et exprimant sa gratitude pour l'aide précédemment reçue.
Jeanne de Chast, veuve Madaris, de Ciboure, écrit à Jean Laborde, négociant à Louisbourg, pour lui rappeler une dette concernant les salaires de son défunt mari François Madaris, qui travaillait comme matelot sur la goélette La Pitouche.
Jeanne de Lissardy, veuve Ducos, répond à Bertrand Derocet de Louisbourg en confirmant la réception d'une lettre de change de 240 livres qu'elle lui créditera dès que possible.
Joanna Haurra Mococain veuve Domecq, depuis Saint-Jean-de-Luz, s'adresse à son fils Bertrand Domecq, officier marinier à Louisbourg, pour lui exprimer sa surprise et sa déception de ne pas avoir de ses nouvelles depuis son départ.
Dans sa lettre datée du 15 octobre 1754, Joannis Cassaro, depuis Léognan, s'adresse à un destinataire non spécifié pour lui rappeler un arrangement financier passé durant une période de guerre.
Dans cette lettre de Joseph Guichard à M. Cabofie, datée du 28 mars 1757, Guichard rapporte les difficultés rencontrées lors de son voyage et de ses activités commerciales, notamment la dissolution de sa société à Louisbourg et la vente d'une…
Joseph Guichard écrit à M. Dumaine, un négociant à Louisbourg, depuis Bayonne le 25 mars 1757, pour discuter de la liquidation des actifs restants de leur ancienne société.
Joseph Guichard, de Bayonne, adresse une lettre à Sébastien Charles Laborde à Louisbourg, datée du 25 mars 1757, dans laquelle il partage ses mésaventures financières et commerciales.
L'abbé Robin écrit à M. Heguy, un négociant de St Jean de Luz actuellement à Louisbourg, pour renouveler leur amitié malgré la distance et discuter de leur relation passée.